Carbstone – un bloc de construction écologique – le bloc au co2 négatif !
Blocs de construction Carbstone – bloc avec co2 négatif Des blocs qui mangent le co2… oui ça existe ! Consultez, ici, un article et une video très intéressante qui explique l’intérêt de ces blocs et qui expliquent leur intérêt, en particulier par rapport au béton et au ciment en général. Les blocs Carbstone à Tournai, près de Lille, c’est chez Morphomat. Ce sont des blocs qui ressemblent à des parpaings en béton mais sont fabriqués à partir des déchets d’aciéries (scories). Ils sont totalement recyclables et s’inscrivent parfaitement dans la construction circulaire. Carbstone est une solution innovante pour la construction, axée sur la durabilité et la réutilisation. Voici quelques points clés à propos de Carbstone : Cycle sans fin de durabilité et de réutilisation : Les blocs Carbstone sont neutres en CO2 et continuent d’absorber du CO2 même après leur production. Ils deviennent progressivement de plus en plus résistants et durs, ce qui permet de construire des murs très solides. Fabriqués à partir de matières secondaires donc de déchets (scories d’acier), ils restent 100 % recyclables dans leur prochaine vie. Avantages : CO2 négatif : La production de blocs Carbstone absorbe plus de CO2 qu’elle n’en émet. Ils extraient ensuite le CO2 de l’air et le conservent à jamais. Cradle-to-cradle : Les scories valorisées sont converties en matériau utilisable pendant la production. Les blocs Carbstone sont donc recyclables à 100 %. Résistance élevée à la compression : Grâce à l’absorption continue de CO2, ils deviennent de plus en plus durs, offrant une capacité de charge exceptionnelle. Temps de durcissement réduit : Comparé aux blocs traditionnels à base de ciment, les blocs Carbstone ont un temps de durcissement de 24 heures au lieu de 3 semaines. Réduction de l’empreinte carbone : Chaque cargaison complète de blocs Carbstone livre 7 tonnes de CO2 en moins par rapport au même volume de blocs contenant du ciment. Après la démolition, les blocs broyés ne laissent que du sable et du gravier, rendant les carrières de sable et de gravier inutiles. Petite présentation de ses applications : A commencer par des murs tout à fait classiques, maçonnés exactement comme les blocs béton classiques : Carbstone est un matériau de construction novateur qui offre une alternative durable et respectueuse de l’environnement. Voici un résumé court de ses applications : Blocs de construction : Les blocs de construction Masterbloc sont réputés pour leur qualité, leur caractère innovant et leur résistance exceptionnelle à la compression. Ils sont disponibles en versions creuses, pleines, avec ou sans perles isolantes Climasono, et même en version circulaire négative en CO2. Ces blocs sont parfaits pour les travaux publics, privés et de génie civil1. Soundblox : Des blocs de maçonnerie acoustiques pour l’intérieur et l’extérieur, développés en collaboration avec Soundless Acoustics. Ils assurent un confort acoustique optimal dans les immeubles d’habitation, les salles de sport, les salles de concert, etc. Ils sont également disponibles en version Carbstone, avec ou sans couleur et avec ou sans remplissage de laine de roche naturelle1. Blocs empilables : Les blocs empilables Carbstone de Masterbloc permettent de construire des structures temporaires et permanentes de manière rapide, sûre et rentable. Ils sont utilisés dans l’agriculture, l’industrie, la construction de routes, etc. Leur processus de fabrication unique garantit une durée de vie plus longue et une résistance au feu supérieure aux variantes coulées1. Murs maîtres : Les murs Masterwalls sont des murs préfabriqués d’une hauteur d’étage, produits de manière semi-automatique dans un environnement contrôlé. Ils sont disponibles en version normale et en version isolante Climasono. Désormais, ces murs sont également disponibles avec la technologie Carbstone1. Robbie Cobot : Le cobot Robbie de Sagoma est une grue coopérative à commande hydraulique qui suit intuitivement les mouvements de son opérateur, prenant en charge le levage de charges lourdes1. En résumé, Carbstone offre un cycle sans fin de durabilité et de réutilisation. Ses blocs sont neutres en CO2, recyclables à 100 % et absorbent même le CO2 après leur production, devenant ainsi plus durs2. Pour plus d’informations, vous pouvez visiter le site web de Carbstone2. Ces blocs sont parfaits dans le cadre d’une construction circulaire. En sa voir plus sur Carbstone : Consultez leur site web ici. L’avenir commence avec des solutions comme Carbstone ! Par ici pour découvrir des réalisations sur le site de Carbstone. Vous pouvez télécharger la brochure ici Vous souhaitez en savoir plus sur les Blocs de construction Carbstone – bloc avec co2 négatif Alors n’hésitez pas à nous contacter ou à nous rendre visite !
Bardage noir respectueux de l’environnement
[seasidetms_row][seasidetms_column data_width= »1/1″][seasidetms_text] La sublime tendance du bardage noir et son élégance contemporaine est dès à présent réalisable avec la lasure Tulló et son nouveau colori : noir : « Valdakaya » réf. 7876 Le noir mat « Valdakaya » trouvera sa place sur les bardages fabriqués à partir de matériaux tels que le bois brut (pin, douglas, ….), bois de récupérations non tanique. La lasure Tulló noire matte « Valdakaya » offrira une protection idéale contre les éléments. C’est une imprégnation à base d’huile végétale de lin. Application sur bois sec de moins de 12% d’humidité. L’option de la lasure Tulló noire mat « Valdakaya » est une alternative esthétique à la technique japonaise du Shou Sugi Ban. Shou Suquoi ? Le Shou Sugi Ban c’est une technique du bois brûlé très utilisée aujourd’hui par les professionnels dans l’architecture et la construction. Elle consiste à obtenir une couche noire de carbone sur la surface apparente du bois par brûlage. Cette méthode est issue du Japon et reste difficile à réaliser pour les particuliers sans trop d’expérience. Grâce à la lasure Tulló Valdakaya nous arrivons à retrouver une esthétique similaire à celle du bois Shou Sugi Ban sans se casser la tête. Produit : Lasure Tulló (sans isocyanate) Couleur : Valdakaya noir (ultra couvrante) Réf. : 7876 Usage : intérieur et extérieur Nombre de couche : 2 Temps de séchage : 24h à 20°C et 60% taux d’humidité de l’air Conditionnements : 750 ml (800ml avec la pigmentation)2,5L (2.6L avec la pigmentation)9L (9,6L avec la pigmentation) Alors que pensez-vous de ce bardage noir respectueux de l’environnement ? Venez en discuter du produit avec nous cela vous intéresse 😉
Isoler sa maison avec des produits écologiques.
Avoir une bonne isolation est l’une des choses les plus importantes dans la conception d’une maison. En hiver, l’isolation permet de réduire les pertes de chaleur et donc de réduire les besoins en énergie. C’est comme cela que votre consommation diminue et donc votre facture aussi. En été, elle permet de maintenir un bon confort thermique, ainsi que de limiter la surchauffe. Une bonne isolation est aussi très utile pour diminuer les bruits venus de l’extérieur ou en canaliser d’autres à l’intérieur de la pièce où ils circulent. Cependant il existe de nombreuses sortes d’isolants et il est alors difficile de savoir lequel est le meilleur et de faire un choix. Afin de faciliter votre choix, il est plus judicieux de se baser sur votre budget et de voir les différentes possibilités d’isolation qui s’offrent à vous. Ensuite, il vous suffira de comparer les caractéristiques des isolants qui entrent dans votre budget et de prendre celui qui correspond le mieux à vos besoins. Quels isolants écologiques existe-t-il ? Le liège expansé, le coton recyclé, la laine de chanvre, la fibre de bois, chanvre + ouate + fibres textiles, paille de riz, la laine de mouton, … Quelque soit votre choix, avec les matériaux écologiques vous faites toujours le bon choix. 😉 Sasha de la Villa Figares
Un habitat au top! Oui, mais…lequel?
Habitat durable, écologique, passif, bioclimatique, autonome, tant de qualificatifs, mais de quoi s’agit-il exactement? L’habitat durable La notion de durable intègre plusieurs critères: Une construction durable, limitera au mieux ses impacts sur l’environnement tout au long de sa vie. Elle favorise les matériaux et les ressources renouvelables. Elle tient compte des déchets, de sa consommation d’eau et de son impact énergétique ( l’énergie grise), mais aussi de son impact sur la faune et la flore. Elle prend soin d‘utiliser des ressources locales et prend ainsi une dimension économique. Elle favorisera les produits issus du commerce équitable et aura alors une dimension sociale. Elle assure le confort et la santé des occupants, en évitant les matériaux qui pourraient être néfastes pour la santé. L’habitat durable est donc un habitat écologique en soi, qui tend également vers l’autonomie des énergies, mais aussi alimentaire. L’habitat passif Il s’agit d’une construction à laquelle un soin particulier a été apporté à l’isolation. Il ne nécessite pas d’apport de chauffage et il reste frais et agréable l’été. La chaleur dégagée à l’intérieur par les habitants,les appareils électriques et le soleil, suffisent à combler le besoin en chauffage. L’habitat passif n’est pas forcément un habitat écologique. Certes, si il diminue fortement les dépenses énergétiques, les matériaux et l’isolation utilisés ne sont pas toujours naturels. L’habitat bioclimatique C’est grâce à son architecture, son orientation et son intégration à son environnement qu’il puise son énergie. Chaque maison sera unique en fonction de plusieurs critères environnementaux et climatiques. On ne retrouve généralement pas de système de chauffage. De grandes ouvertures au sud capte l’énergie naturelle et la stocke pour mieux la répartir dans l’ensemble de la maison. Les matériaux utilisés sont choisis écologiques, cela dans le soucis de garder un lieu de vie sain et qui respire. L’habitat autonome Un habitat est autonome s’il ne dépend pas d’approvisionnements extérieurs. Il n’est donc pas relié au réseau d’ eau et électrique. Il peut être totalement ou partiellement autonome. Outre le soin apporté à l’isolation, la maison combine plusieurs techniques de récupération de l’énergie gratuite, panneaux solaire et éolienne, chauffage par le sol et pompes à chaleur. De quoi combler les besoins en chauffage, électricité et cuisson de la famille. En ce qui concerne les besoins en eaux, la maison autonome est dotée d’un système de récupération et de filtration des eaux de pluie. C’est aussi une maison qui respecte l’environnement par le choix des matériaux. Comme elle tire sa force de l’énergie de la nature, la philosophie est de respecter celle-ci. Des actions, sont d’ailleurs généralement mis en place par les habitants, tel que le traitement des déchets et la limitation de ceux-ci. L’habitat écologique Son but est de minimiser son impact sur l’environnement et ce, tout au long de son cycle de vie, de sa construction à sa destruction. L’utilisation d’écomatériaux, à faible empreinte carbone se retrouve dans chaque élément de sa construction. Grâce à une bonne isolation, les maisons écologiques sont également conçues pour permettre de réaliser des économies énergétiques. La qualité de l’air intérieur étant de plus en plus pollué, il est important de faire de bons choix en matière de matériaux. C’est une question de santé et de bien être. Si l’on devait établir une conclusion, de ces différents types d’habitats, l’habitat durable est celui qui réunit l’écoconstruction, l’économie locale, il est une véritable philosophie de vie. Malheureusement, le terme durable est trop souvent utilisé à mauvais escient, à des fins de greenwashing. Virginie
Connaissez-vous les plaques Fermacell?
D’une extrême solidité, résistantes aux chocs, anti-feu, adaptées aux pièces humides et avec de grandes qualités acoustiques. Voici les plaques fibres-gypse Fermacell. Plaques Fermacell? Kezako? Il s’agit de plaques composées de gypse (une roche naturelle appelée aussi pierre à plâtre) renforcées de fibres de cellulose issues du processus de recyclage des vieux papiers. L’unique liant ajouté est l’eau, elles sont comprimées sous haute pression, séchées et imprégnées ensuite d’un hydrofuge. Un produit respectueux de l’environnement, mais pas que… L’utilisation de fibres de papiers dans la composition des plaques Fermacell leur confère une plus grande résistance aux chocs que les plaques de plâtres traditionnelles. Solides et résistantes aux charges mécaniques, une plaque de 12.5 mm d’épaisseur peut supporter 50 Kg par cheville, 30 Kg par vis et 17 Kg par crochet. Elles peuvent être utilisées comme élément de construction, fixées sur une structure porteuse ou collées directement sur une maçonnerie avec un mortier colle. Elles peuvent servir au montage de cloison, constituer un plafond ou un plancher. Résistante au feu Une plaque de 10 mm est classée dans la catégorie RF 30 à 120, c’est à dire une résistance au feu de 30 min à 2h. Les bords droits pour une mise en oeuvre simplifiée Si les plaques Fermacell existent en bords amincis comme les plaques de plâtre classique, les bords droits, une exclusivité Fermacell, vous offre un gain de temps non négligeable lors de la mise en oeuvre. La liaison des plaques s’effectue par collage des plaques bord à bord à l’aide d’une colle en cartouche. Plus besoin de bandes de renfort et d’enduire entre les plaques. le choix de la finition Les plaques de Fermacell permettent d’appliquer carrelage, enduit décoratif, peinture ou papier peint. Des solutions pour le sol aussi Les plaques sols sont applicables sur différentes structures de sols et peuvent recevoir toutes les finitions possibles. Elles sont compatibles avec le chauffage pour le sol. Passez les voir en magasin pour vous rendre compte de leur robustesse. Virginie
Les habitats écologiques les plus surprenants
Partout dans le monde, les consciences s’éveillent et de plus en plus d’habitats écologiques, alternatifs, durables et quasi-autonomes voient le jour. Pour vous faire rêver ou vous donner des idées, voici quelques exemples d’habitations parfois surprenantes mais éco-responsables. Les géonefs Concept créé dans les années 70 par Mickaël Reynolds. Il est parvenu à développer un type d’habitat autonome et écologique. Les géonefs ou Earthship ont une architecture assez particulière, ils possèdent de grandes surfaces vitrées exposées plein sud, des pièces construites en enfilades, des murs en terre et en matériaux recyclés comme des pneus ou des bouteilles en verre, une partie de leur structure est enterrée. Les géonefs sont des habitats écologiques autonome, durables qui permettent de recycler des déchets. Le domespace Prix de l’environnement en 1994, cette maison allemande est très inspirée des igloos. Elle est constituée à 90 % de bois d’essences non traitées et certifiées FSC. Rotatif, il permet de profiter au maximum des périodes d’ensoleillement. Les maisons souterraines Ces maisons au look de cabanes de hobbits de la terre du milieu, sont non seulement, très esthétiques mais elles constituent également une alternative écologique qui s’intègrent totalement dans son environnement. Si elles nous paraissent curieuses,elles font partie depuis bien longtemps du décor Islandais. La construction de ces maisons troglodytes nécessite une sélection du terrain, qui prendra en compte, le climat, le type de sol, la topographie, le niveau de la nappe phréatique. L’orientation est un élément très important car elle doit permettre à la lumière d’entrer tout au long de l’année. La masse thermique de la terre constitue le plus grand avantage des maisons enterrées. Elle constitue un isolant naturel qui permet de maintenir une température constante. Elles résistent également aux intempéries et aux sinistres. Elles s’intègrent à l’environnement et ne laisse pas d’empreintes écologiques. Les maisons P.A.T.H de Philippe Starck Le célèbre designer Philippe Starck s’est associé au constructeur slovène Riko pour créer une maison écologique préfabriquée accessible et technologique. Respectueuse de l’environnement et neutre en carbone. Isolation renforcée, éoliennes, pompes à chaleur et panneaux photovoltaïques, elles produisent plus d’énergie qu’elle n’en consomme. Les méthodes de préfabrication utilisées pour sa construction sont écologiques également . Elles peuvent réutiliser les déchets générés de leur fabrication. Personnalisables, elles sont déclinées en 34 plans selon les besoins et le budget des futurs acquéreurs. De 140 m² à 350 m², il faudra quand même compter entre 2500 € et 4500 € le mètre carré. La maison éco serre Cette concept house est la création des étudiants de l’université de Rotterdam dans le cadre d’un programme de « technologies de constructions durables ». Cette maison de 120 m² est entièrement construite en bois, en verre et en acier inoxydable. Elle a la particularité d’être entourée d’une serre. L’idée est d’emmagasiner toute l’énergie fournie par le soleil. Le jardin potager est situé sur le toit, courgettes, tomates, salades et bien d’autres y poussent sans apport d’énergie. Panneaux solaires, récupérateurs d’eau de pluie et plusieurs technologies ont-été mises en places pour favoriser au maximum l’autonomie des habitants. L’isolation a elle aussi été sérieusement pensée, les murs ont été recouverts de terreau sur 45 millimètres et les plantes y poussent librement assurant de garder la maison au frais l’été et au chaud l’hiver. La wikkelhouse La maison en carton, oui, oui, vous lisez bien, et performante en plus. C’est une entreprise hollandaise qui a mis au point ce concept étonnant. Il s’agit de modules qui assemblés bout à bout permettent de construire une maison. Ces modules sont constitué de 24 rames de cartons collés ensemble avec une colle écologique, recouvertes d’un enduit étanches et de lambris afin de garantir l’étanchéité. Un module représente 5 m² pour un coût de 3900 €. La wikkelhouse, littéralement maison de papier, ne nécessite pas de fondation, a des performances en isolation thermique et acoustique inégalées, est 3 fois plus écologique qu’une maison traditionnelle et a une durée de vie de minimum 50 ans. Pour info, elles peuvent être livrée en Belgique et en France. Choisir de vivre dans un habitat écologique permet d’allier le faible impact environnemental avec la préservation de la santé des habitants. C’est là toute la philosophie d’Morphomat, vous proposer une gamme de matériaux de construction et de décoration s’inscrivant dans une démarche d’éco-construction et bienveillante pour l’homme et sa planète. Virginie
Isolation acoustique : les solutions écologiques.
Au delà de la simple gêne que peut produire la pollution sonore, elle a un impact bien plus important sur notre santé. Des études publiées en 2011, ont démontrés que les nuisances sonores sont à l’origine de nombreuses maladies et troubles, cela va de la perturbation du sommeil à la maladie cardiovasculaire, en passant par les acouphènes et la dépression. Qu’est-ce que le décibel? Le décibel est une mesure d’intensité sonore. A partir de 120 décibels, on atteint le seuil de la douleur et le bruit peut avoir des conséquences irréversibles sur le corps. Echelle du bruit publiée par Consoglobe Dans nos habitations, nous allons distinguer deux types de nuisances sonores: Illustration de l’Ademe Les bruits aériens: ils regroupent les bruits émis par une source qui n’a pas de contact avec la structure du bâtiment. Ils peuvent être extérieurs (provenant de la rue par exemple) ou intérieurs (conversation ou télévision). Les bruits solidiens: Ils sont générés par un choc sur une paroi qui fait vibrer l’air. On distingue les bruits d’impact (bruits de pas ou chute d’objets) ou les bruits d’équipement ( robinetterie, chasse d’eau). Il sera important de prendre en compte ces distinctions afin de déterminer la solution acoustique la plus appropriée. Les 4 principes d’une bonne isolation acoustique L’utilisation de matériaux denses, poreux et souples. Plus il y aura de masse plus l’isolation sera meilleure. Veiller à une bonne étanchéité à l’air. si l’air passe, le son passe. La désolidarisation des éléments afin d’empêcher que le bruit ne se propage par vibration dans une structure, plus elle est importante, plus on limite le bruit passant par les joints de fixation des panneaux. Dans cet exemple (solution panneaux Acoustix), la paroi d’isolation est complètement désolidarisée du mur. La diversification des matériaux: l’association d’isolants souples, de panneaux rigides et de plaques de finitions apportant de la masse permet d’avoir une isolation importante dans toutes les bandes de fréquences sonores. Les matériaux Le bois Grâce à sa structure alvéolaire constituée de cavités microscopiques, il permet d’enfermer les sons. Les panneaux de fibres de bois sont utilisés pour isoler les murs, les cloisons, les toits et les planchers. Le liège Constitué de 95 % de gaz inerte, il est un absorbant acoustique efficace. Suivant son épaisseur et son mode de pose, il pourra absorber des fréquences (sons aigus, graves) différentes. En panneau pour isoler les chapes, murs, toitures et plafonds, ou en granulés, déversés entre les solives, pour isoler les planchers. Le mélange chanvre-cellulose Le Biofib ouate est un isolant à base de fibres naturelles de chanvre et de cellulose recyclée. Il est sous forme de panneaux semi-rigides de 45, 60 et 100 mm. Il permet l’isolation des murs, toitures et planchers. Les panneaux Acoustix de Pan-terre Ces panneaux, réalisés à partir de papiers recyclés et pailles de lin, sont dédiés spécifiquement à l’isolation phonique. ils ont une épaisseur de 16mm et peuvent être associés à différentes plaques de finition: plâtre, fibro-plâtre et osb/3 zero. La colle utilisée pour ces complexes est sans formaldéhyde. 100% issus du recyclage, 100% recyclables, et fabriqués en Belgique. La gamme propose également des accessoires qui permettent de résoudre efficacement les problèmes acoustiques. Selon la mise en oeuvre, les solutions Acoustix permettent de gagner de 24 à 58 décibels. Tout cela peut sembler bien complexe, n’hésitez surtout pas à prendre contact avec notre équipe qui pourra vous aiguiller au mieux vers la solution qui correspond à votre situation. A très vite Virginie
le chanvre, la plante multifonctions
La culture du chanvre remonte à environ 8000 ans avant J.C. C’est en Chine qu’il est alors utilisé pour ses fibres solides dans la confection de textiles, la fabrication de papier, pour ses graines en alimentation et ses propriétés médicinales. Au 18ème siècle, il connait un essor fulgurant pour la fabrication des voiles et des cordes de bateau. Sa production chute au 19ème siècle face à la concurrence des industries du synthétique issu de la pétrochimie. Très souvent confondu avec le Cannabis indica, le chanvre (de son petit nom latin Cannabis sativa) ne possède pas d’éléments psychoactifs (THC). D’ailleurs seulement 40 espèces de faible teneur en THC ont été autorisés pour l’agriculture, en vertu de la législation européenne. Une culture écologiquement avantageuse Il demande peu d’énergie, il est très résistant , il est facilement cultivable sans OGM ni pesticides. Il ne nécessite que très peu d’entretien et quasiment pas d’irrigation. Avec un rendement intéressant, puisque son cycle de vie est de quatre à cinq mois. Des utilisations multiples La médecine Les bénéfices médicinaux du chanvre riche en cannabinoïdes ont été bien établis scientifiquement au cours des dernières années. De nombreuses études, ont démontré que le CBD et beaucoup d’autres cannabinoïdes moins connus, peuvent être utilisés pour traiter des troubles comme la sclérose, la maladie de Crohn et la maladie d’Alzheimer, l’épilepsie, la maladie de Parkinson, la douleur chronique et l’inflammation, et beaucoup d’autres encore. L’alimentation Les graines de chanvre (chènevis) sont très complètes d’un point de vue nutritif. Sa grande teneur en protéines (30 à 35%) en fait un très bon substitut à la viande. Elles referment tous les acides aminés essentiels, elles contiennent également des vitamines importantes, telles que la vitamine B1, B3, B5, E, ainsi que des minéraux tels que magnésium, calcium, fer, zinc, phosphore,… Son huile est une source d’acides gras essentiels. Très saine pressée à froid, elle est même recommandée pour soigner certaines maladies de la peau, des rhumatismes, des inflammations, des problèmes de tension artérielle élevée, pour un mauvais taux de cholestérol ou de diabète. Textiles Rien de ce qui peut être fait en coton, ne peut être fait en chanvre, avec un impact environnemental bien moins lourd. En effet, le coton est une culture destructrice, qui utilise jusqu’à 50% des pesticides au niveau mondial pour pousser. Le chanvre, lui, peut être cultivé sans pesticides, c’est une plante très résistante, il pousse dans pratiquement n’importe quelles conditions. De plus le chanvre donne des créations durables, solides, confortables et douces. En cosmétique L’huile de chanvre fait des merveilles sur la peau et les cheveux grâce à ses propriétés hydratantes. Elle lutte contre le dessèchement de la peau et peut s’avérer d’une grande aide en cas d’eczéma, d’herpes ou de psoriasis. C’est un soin anti-âge idéal grâce à ses vertues nourrissantes, raffermissantes et régénérantes. Au jardin Le paillage de chanvre apporte de nombreux avantages dans votre jardin: Protège le sol contre les mauvaises herbes et les gelées Aide à la croissance des arbres, plantes et arbustes Réduit le besoin en eau d’environ 50% Donne un effet décoratif Apporte calcium, magnésium, potassium et phosphore En construction Le chanvre a de quoi révolutionner le domaine de la construction. Ses composants peuvent être utilisés pour recréer les caractéristiques du bois, du béton, du plastique, de l’isolation et même des revêtements. Il est donc possible de créer un habitat bien plus sain et plus écologique. La partie ligneuse de la tige est particulièrement isolante car elle est remplie de vide. Les panneaux de chanvre Ces panneaux d’isolation en laine de chanvre ont de nombreux avantages: Une pose facile Une bonne résistance thermique avec un lambda de 0.040w/mk Une excellente résistance mécanique Une excellente résistance à l’humidité Aucune nocivité Ne provoque aucune irritation Pas de risque de putréfaction Une bonne durabilité Une forte inertie thermique, ce qui permet d’accumuler lentement la chaleur au cours de la journée sans surchauffer les pièces de vie. On garde ainsi une température agréable lors des journées d’été trop chaudes. Difficilement inflammable Résistance aux nuisibles, répulsif pour les rongeurs. Respiration et transpiration de la maison Le béton de chaux-chanvre La chaux et le chanvre peuvent être mélangés pour former un béton ayant plusieurs usages. le remplissage des murs pour les construction à ossature bois ou pour la rénovation des colombages Le recouvrement des murs en supports minéraux Comme enduit décoratif Pour l’isolation acoustique et thermique des sols et planchers Pour l’isolation des combles. Les blocs de chaux-chanvre Isohemp Une innovation belge, ces blocs peuvent servir en isolation intérieur et extérieur, en maçonnerie intérieure (cloisons) et pour les nouvelles constructions avec tous types d’ossatures. Elle apporte un confort acoustique et thermique, avec une application facile pour un résultat esthétique. Vous l’aurez compris, le chanvre est une plante aux multiples ressources qui revient en force dans de nombreux domaines et, c’est tant mieux 🙂 Nous sommes toujours à votre disposition pour toutes informations concernant vos projets d’isolation. Virginie
Le liège, partenaire de votre déco éco-responsable
Le liège résiste à l’humidité, aux fortes chaleurs et aux variations de températures, utilisé depuis l’antiquité, le liège connait un regain d’intérêt et fait un retour en force dans nos intérieurs. Voyons ensemble ses nombreuses utilisations et qualités.
Pénurie d’isolation ? Pas partout !
Le point sur la situation Cela fait maintenant 1 mois que l’on n’entend plus parler que de cela sur chantier et que les entrepreneurs et architectes cherchent des solutions pour faire avancer les chantiers qui prennent des retards considérables. En cause, la pénurie de MDI (lisez Diisocyanate de diphénylméthylène) qui rend impossible la production des panneaux de PUR et PIR, les isolants les plus utilisés dans la construction, que ce soit pour les toitures, les murs ou encore les sols.